Elle dans le chateau inabordable de Fridchtejn la veine Et sans regarder les rumeurs les plus sombres autour Libouche – tel clair et tres bon etait Et voici dans le bois d'automne du chevalier de la mort a sauve
Libouchе, le chevalier blesse a gueri … Etait reconnaissant qu'elle ne l'a pas laisse Par la bonte et la vie lui a offert Et son coeur ainsi par les tendrement sortileges a pris
Libouche – qui a invente le nom si tendre ? Et pour le chevalier c'etait le secret tres grand Oh, dans Libouche fragile il y avait tant de feu! Il a aime Libouche par tout le coeur et l'ame
Sur, cette tendresse de son nom caressait sa rumeur Et de la proprete de sa voix saisissait l'esprit Et personne ne lui admettait pas meme les serviteurs Il est devenu pour elle plus que l'inconnu
S'etant remis lui devait la quitter Avec la tristesse en quittant a Fridchtejne le coeur A laisse l'anneau avec l'Heliodore pour elle Comme ayant dit – «Libouche, tu m'es chere»
Mais de la separation avec Libouche son coeur etait enveloppe de la peur : Comment elle la une ces bois epais tcheques ?! Il en revait : ses mains, les cheveux, les levres, les yeux … L'Heliodore d'elle croyait gardera des tristesses et les malheurs
Sur, et tout l'hiver Libouche la veine sur le chevalier en s'ennuyant N'ayant pas reussi a oublier le fremissement et la tendresse de son baiser Et l'Heliodore dans son anneau rayonnait le coeur a celle-ci en inquietant En rayonnant tendrement dans ses reves a celle-ci la rencontre avec lui en dessinant
Il aux messages a Fridchtejn envoyait bien des fois Mais de Fridchtejna de la reponse et ne recevait pas Le feu de l'amour de Libouche a jamais au coeur a ete passionne Il a abdique l'etat et le titre pour Libouche
Il seulement a pris certaines valeurs Est alle au grand train a Fridchtejn chez Libouche d'un Il a cote d'elle etait tout le temps le coeur, l'ame A Fridchtejne a trouve Libouche tres malade
Mon Dieu, maintenant il etait constamment pres de son lit Et apres les fenetres en sentant le printemps se fachaient les tourbillons de neige Et il pour sa vie infatigablement, priait chaleureusement Et il ne croyait pas que trop a ete tard
Sa main dans sa main, et sur son doigt il y avait son anneau Mais il ne remarquait pas comme l'Heliodore etincelle tendrement Et l'idee sur celle-la que Libouche – sa femme meurt Il chasse et les gouttes de ses larmes inondent l'Heliodore
Vers le printemps dans Fridchtejn sombre il y avait un miracle S'est remis Libouche tendre et pour l'amour fidele Au printemps se sont maries avec le chevalier de l'Heliodore, Libouche … … le Chevalier de l'Heliodore est devenu le bonheur eternel des reves …