Constamment, chaque matin elle vers la fenêtre courait... Pour voir le bonheur voulait le ciel suppliait À celle-ci autrefois il y a longtemps la devineresse a prédit le bonheur, Et elle dans le monde des châteaux, les chevaliers gardait la foi...
Elle au coin du feu brodait la robe de mariage à lui-même... Lisait aux bougies tous les livres sur l'amour qu'avait Et chaque fois en brodant elle secrètement voulait ainsi Pour que tout à fait bientôt son amour vienne à celle-ci.
Dans son jardin la rose aimée grandissait non un an... Mais elle ne lui offrait jamais les couleurs Et une jeune comtesse, tendre et solitaire attendait L'aimeront, et sa fleur des rois fleurira...
En automne arrachait le vent dans les bois le feuillage, et elle pleurait... Comme elle une dans le château était triste parfois Il semblait que sa vie a condamné à la solitude... Ne sera pas ainsi qu'elle rêvait... Jamais
Et enfin, le printemps, sur vif, le bal... Ils se sont rencontrés! L'amour a plongé la comtesse enfin dans le monde de la tendresse Et dans le jardin sa rose a doué du paradis parfumé des couleurs Et la sorcellerie, le château ancien leur amour a vaincu
L'amour est plus important : de la fierté, les richesses, les titres, les châteaux... Il faut croire, attendre et estimer. Le monde de la tendresse — l'Amour!